Avec les votes du PP, de parti socialiste espagnol et UPyD, la Réunion plénière du Congrès a repoussé la proposition présentée par Esquerra Republicana (ERC) et appuyé par la Gauche Plurielle (IU-ICV-CHA) pour régulariser, dans le plus bref possible délai(terme), la production, la distribution et la consommation de cannabis en Espagne. L'initiative projetait à son tour la création d'une sous-commission ou le groupe de travail pour étudier la dépénalisation citée, qui n'est pas sortie non plus en avant.

Il s'agit d'une motion, la conséquence de l'interpellation que le porte-parole des indépendantistes catalans, Alfred Bosch, a débattue fait une paire de semaines avec le ministre de la Justice, Alberto Ruiz-Gallardón, qui s'est seulement montré disposé à étudier la possibilité de légaliser la consommation de cannabis depuis une perspective sanitaire. Dans ce cas, le ministre a rappelé qu'une législation existe à ce sujet amplement approuvée par des institutions internationales, aussi comme de nombreuses analyses cliniques avancent dans la ligne de confirmer que le cannabis est préjudiciable pour la santé.

ERC: "40.000 postes de travail pourraient être créés"

Depuis ERC ils(elles) ont souligné que la légalisation de la production du cannabis pourrait créer environ 40.000 postes de travail, que, selon son opinion, il(elle) supposerait quelques recettes(revenus) pour la Sécurité sociale et l'IRPF d'environ 400 millions d'euros. De plus, Bosch a affirmé que, selon des estimations de 2010, les bénéfices de la nouvelle niche de marché économique et de génération d'emploi supposeraient pour l'État environ 6.000 millions d'euros par an de bénéfice.

Dans ce cas, c'avait été Joan Tardà qui est montée à la tribune à défendre l'initiative et s'est demandé ce qui est ce qui passerait si un député affirmait que l'on fume un joint de la marijuana, quand on admet déjà que l'un peut s'enivrer de temps en temps. "Ce serait un objet de moquerie et d'estigmatización. Une double morale existe et ERC demande qu'elle soit réglée, cette drogue qui n'est pas légale et de l'époque il(elle) se parlera de la protection sur l'enfance, des lieux de consommation et de tout ce dont il(elle) veut se parler. Il s'agit d'élever et non de défendre", le républicain a réclamé.

Quant à lui(elle) le député du PP Joaquín Villanova considère que la légalisation augmenterait la perception des jeunes, il(elle) descendrait l'âge de commencement de la consommation, à la fois on transmettrait un message de la tolérance aux drogues et une banalisation des effets négatifs sur la santé des consommateurs. "C'est la porte d'entrée à d'autres drogues plus dures. Presque moitié de toutes les morts de trafic avait consommé cannabis", il(elle) a précisé, en même temps que le but thérapeutique serait à l'intérieur du concept de l'automédication qu'il(elle) dit que "il a été toujours repoussé".

L'Espagne, un leader de consommation de cannabis

Isabelle Rodríguez García, du parti socialiste espagnol, a rappelé que l'Espagne est leader en Europe dans la consommation de cannabis, en étant les jeunes entre 15 et 17 ans les plus grands consommateurs, en même temps que souligne que selon l'OMS 27,5 % d'étudiants(étudiantes) admettent avoir essayé le cannabis à 15 ans.

"Notre préoccupation est la capacité toxique de la drogue, qui s'il(si elle) se consomme abusivement a une répercussion sur la santé mentale des personnes et peut abîmer au développement personnel, surtout s'il(si elle) se consomme à l'adolescence, à la fois que nous préoccupe qu'il(elle) se consomme tant dans cette époque", il(elle) a raconté, en même temps qui croit que, après avoir parlé des drogues, il faut le faire en matière d'une prévention et une légalisation.

Depuis UPyD qu'un amendement a présenté Charles Martínez Gorriarán il(elle) croit qu'il faut avancer vers la régularisation de la culture et la consommation du cannabis en Espagne, bien qu'il(elle) considère qu'il faut le discuter à l'intérieur d'une sous-commission parlementaire, et "non seulement pour le donnent au Gouvernement les instructions qui se mettent après à une caisse et ne vont pas nulle part". De plus, il(elle) considère très importante la prévention et la régulation de la consommation du cannabis pour qu'il ne succède(n'arrive) pas, le même qu'avec la grande bouteille, après que la prohibition a démontré à son jugement que ces pratiques ne peuvent pas être éradiquées. De fait, il(elle) a rappelé le cas de la Hollande ou de la Californie qu'ils(elles) ont régularisé la consommation.

De la part de CiU, Conxita Tarruella parie dans son amendement auquel est réalisée la sous-commission de l'étude de la régularisation de cette drogue, alors que, depuis le PNV, Emilio Olabarria voit raisonnable la création d'une sous-commission pour son étude, bien qu'il(elle) n'appuie pas sa régularisation dans cette motion. "Il nous semble que la protection du Code Pénal par rapport à la culture et le trafic du cannabis est bien configurée et pour son abrogation il faudrait attirer des consentements politiques sociaux et évaluer l'inanité de la consommation du cannabis pour la santé. On a rapporté peu à la perspective sanitaire et il semble qu'ils(elles) donnent plus une importance aux effets économiques qui dériveraient de la consommation de cannabis", il(elle) a reproché les républicains.

Quant à lui(elle) Gaspar Llamazares, au nom de la Gauche plurielle (IU-ICV-CHA) appuie la motion et voit il(elle) compléterait régularisation du cannabis et le débat sur cela dans une sous-commission d'étude. Ainsi, il(elle) a rappelé qu'au XVIe siècle un médecin a parlé des "doses toxiques" et non des éléments toxiques. Dans ce sens, a souligné son double versant(aspect), la guérison et le 'poison'. "Sa stratégie a été celle-là de la prohibition, et il faut lui(leur) demander s'il(si elle) a échoué ou non et dans cette matière qui prétendait à un monde sans des drogues il(elle) ne l'a pas obtenu", est prévenu le parlementaire de gauches.